vendredi 19 octobre 2018

Canzoni Della Cupa


C'est l'album de Vinicio Capossela et on l'adore! On l'a écouté de nombreuses fois cet été dans le camion... et on vous le partage, à découvrir

 

mercredi 17 octobre 2018

Naples sur tous les modes

 Merci à François Cardinali pour son article dans Chants...Songs

 

Chanteur et accordéoniste du groupe Brastch, François Castiello a su bien s’entourer pour livrer sa vision de Naples au cœur du collectif Lalala Napoli qui revisite à nouveau les classiques des mélodies napolitaines dans Disperato. Inventif et tonique en diable.

 

Il fallait bien que François Castiello, l’accordéoniste toujours inspiré du groupe Brastch,  replonge un jour dans ses racines musicales. Avec le deuxième disque du collectif Lalala Napoli, Disperato,   il confirme la variété de son inspiration et cet enracinement.

Réunissant à nouveau sa bande de cinq musiciens autour des musiques populaires de Naples, François Castiello mêle l’acoustique et l’électrique dans ce disque où la liberté d’expression  prend son envol libérant, au gré des morceaux, une émotion palpable. Trilles de flûte, nostalgie d’un accordéon voyageur, basses solides, mandoline délicate… ce disque sent le « live » à plein nez et pétille de vie. Il y a du bal napolitain, aussi chaleureux que fou et exubérant, dans ce panorama en quatorze morceaux qui débute en fanfare avec Simme e napule paisa et qui se termine par une version mémorable de Funiculi Funicula. Un album qui offre aussi des mélodies moins connues comme ce Cannettella, porté par les arrangements du maître de cérémonie.

Avec ce groupe, la tarentelle semble née d’aujourd’hui tant il insuffle de la vie et du mouvement dans ces mélodies ancestrales.

Avec Lalala Napoli, la sérénade n’a pas pris une ride, bien au contraire, et ce collectif de musiciens donnent une irrésistible envie de danser, de taper dans les mains – de vivre quoi ! – au plus mou de ses auditeurs.

Si chacun des membres du groupe Brastch emprunte aujourd’hui des voyages en solitaire, les ponts ne sont pas coupés pour autant et, Lalala Napoli en est un bon exemple, les trois  décennies passés ensemble n’ont pas émoussé l’envie de partager la joie de jouer à plusieurs sur scène, sans se satisfaire de la célébration d’un quelconque ego. La nouvelle vie artistique de François Castiello -flanqué ici d’un deuxième accordéoniste Julien Cretin – pourra t-elle être aussi longue que celle de Brastch ? Dans la revue Accordéon, il  souligne : « J‘ai joué plus de trente ans avec Brastch, jamais je n’aurais pu le prévoir dans les premières années de notre rencontre. Longue vie à Lalala Napoli! ».

Une chose est sûre : François Castiello et sa bande ont assez de ressources pour exprimer d’autres couleurs musicales sur,  ce "Naples fantasmé" , pour reprendre son expression de chevet.

 

mardi 9 octobre 2018

Bye Bye Summer





Au revoir l'été, festivals et festivaliers, à l'année prochaine!

enregistré au Festival L'horizon fait le mur

mercredi 15 août 2018

Départ J-1


Hello les amis, départ en Italie pour Lalala Napoli... La vita è bella! On a récupéré le camion hier, c'était moins une ! Flo est allé le chercher à Niort, c'était vraiment la mission ! Maintenant on a un carter tout neuf, youpi à nous les kilomètres!

le 18 Aout à Ariano Irpino, 83031 (Italie) Ariano Folkfestival à 21H30
le 20 Aout à Alessandria del Carretto, 87070 (Italie) Festival RADICAZIONI 2018 



vendredi 10 août 2018

Italia vieni qui !

Oooooooouuuuuh !! Ce soir c'est notre dernier concert en France avant septembre... Epinal, salut à toi! Après c'est direction Italia, 2 000 kilomètres aller....
... on sera à Ariano Irpino le 18 août  pour le Ariano Folk Festival et on est super content...

 ... et le 20 août au Radicazioni Festival à Alessandria del Carreto, on est à fond ! Vive le sud de l'Italie ! A noi i spaghetti!

jeudi 9 août 2018

Naples, funk & disco

Merci radio Nova, quelle régalade ! allez, on écoute

Playlist : Naples et les bas-fonds du disco

Le funk, le disco, et le son de Naples des années 70 et 80

http://nova.fr/playlist-naples-et-les-bas-fonds-du-disco 

"Via ses Nova Stories, notre programmateur Michael Liot vous a emmené la semaine passée du côté de Marseille, d'Oran, du Caire ou d'Istanbul. Il vous a également emmené à Naples, en Italie, au moment de l'apogée disco et funk de la ville du Sud de la péninsule italienne.

Nous faisons donc escale à Naples à la fin des années 1970, dans l’Italie des Brigades rouges. En réponse à l’agitation politique, les tendances musicales napolitaines sont polarisées entre la chanson traditionnelle pour dénoncer, et la disco pour oublier. On assiste, d’un côté, à un nouvel essor de la musique folklorique, qui devient engagée mais aussi expérimentale, allant jusqu’à créer des formes hybrides entre opéra et proto-techno. En parallèle, Naples contribue aussi à l’italo-disco naissante par une funk sombre, née des bas-fonds, et surtout, scandée en dialecte napolitain. En playlist, un voyage."


lundi 6 août 2018

Napoletani di Partenope

A Douarnenez, où nous avons joué le 25 juillet en 1ère partie d'Amadou et Mariam, nous avons retrouvé Naples grâce à Maurizio Leonardi, photographe napolitain devenu breton d'adoption ! Le magnifique Port-musée de Douarnenez expose jusqu'au 2 septembre 35 superbes tirages argentiques de Maurizio Leonardi : Napoletani di Partenope. Fresque napolitaine. photographies.
crédit photo Maurizio Leonardi
"A Naples, pays de cœur.

Entre mer et volcans, c'est sur le corps de la sirène Parthénope, figure mythologique de l'Odyssée d’Homère, qu'à surgit Naples, un dédale de quartiers et de venelles obscures, fourmillant d'humanité, fruit de plusieurs siècles de stratifications de civilisations.


C'est une population qui a été abusée, diffamée, notamment par l'unification de l'Italie (seconde moitié de 19è s.). Elle s'est bâtie une carapace, jusqu'à aujourd'hui, contre la diffamation et les stéréotypes de criminalité et de sordidité, qui ne cessent de la pointer du doigt comme une coupable.


Ce pays m'aspire, je me retrouve dans des moments perdus, étourdi, errant dans une musique de transe, happé par des parfums d'antiquité.


Sur cette terre sismique du Vésuve qui peut nous cracher à chaque instant, les Napolitains de Parthénope perçoivent la mort comme une force.

Ils vibrent de tout ce Magma d'Histoires, qui bouillonne de sacralité, en tous ces rituels encore vivants, animés d'une force viscérale, Naples explose dans une dynamique de théâtralité toujours surprenante."
Maurizio Leonardi

Sur le site du musée, vous pouvez consulter en ligne le catalogue de l'exposition
Nous vous invitons également à découvrir le blog de Maurizio Leonardi
crédit photo Maurizio Leonardi
"Ma première approche photographique sur l'Histoire et la culture de Naples, à travers les places et les ruelles, commence avec une commande, sur le parcours d'un jeune pêcheur révolutionnaire du 17è siècle, Masaniello, qui entraîne le peuple, enragé par la faim et les taxes qui l'étouffent.

Peu après, j'ai vagabondé, passionnément, dans les fêtes populaires et les traditions, et entamé une collaboration avec une anthropologue française.


"Napoletani di Partenope", est un parcours photographique, réalisé depuis 2004 jusqu'en 2016, en tant que Napolitain qui a vécu à Naples et s'en est éloigné au fil du temps, sans cesser d'y revenir, parce que luntano 'a Napule nun se pò stà (on ne peut pas rester loin de Naples)."
Maurizio Leonardi
 

lundi 30 juillet 2018

Le camion, la mission

tout confort notre beau camion, on peut même étendre les jambes
ça c'était avant... petite bourde; on a pris un plot de parking qui a troué le carter... juste avant notre retour dans la Drôme... action-réaction on appelle l'assurance, ils viennent chercher le camion pour le réparer (on ne sait pas quand!) à Niort et on loue des véhicules pour rentrer... aurons-nous notre carrosse pour l'Italie ? c'est dans quinze jours... affaire à suivre!






un des véhicules de rapatriement!




arrivée du soir en Drôme, complètement à l'Est!

samedi 28 juillet 2018

L' Horizon fait le mur


C'est vrai que c'est un bon nom de festoche, surtout ici, à l'Ouest c'est criant de vérité, la lumière qu'il y a est surnaturelle et nous éblouit chaque jour ! Enfin nous voilà pour deux jours à La Laigne, en Charente-Maritime pour ce super festival. Marie, notre hôte et amie nous a régalé de son énergie, Gérard a fait chauffer les moules pour notre plus grand plaisir... il ne manquait plus que Sergio, on pense à toi l'ami. Julien Certin continue son petit reportage photo, il a retrouvé François Vinoche en pleine sieste (après avoir chercher en vain la baignade!) tandis que Flo et Manue étaient plongés dans leurs lectures....
spéciale dédicace à Sergio

François Vinoche rêve d'eau au pays de Morphée 



 suite du reportage :
 

vendredi 27 juillet 2018

Saint-Brévin-les-Pins

Après une bonne baignade à St-Brévin-l'Océan (avec François Vinoche of course!), il est temps de faire les derniers réglages avant le concert du soir... Manue est à l'éclairage, ce qui n'est pas une mince affaire quand le soleil se couche après 22 heures! Puis nous sommes allés manger, encore de délicieuses galettes (hé non, il n'y a pas qu'en Bretagne qu'on mange des galettes CQFD) pendant que la pluie retenait les techniciens à bâcher tout ce qu'ils pouvaient... merci! Heureusement juste quelques gouttes pendant le concert mais rien de bien méchant!


Manue en pleine réflexion optique



Et comme par magie on a croisé des copains drômois, on a bien fini au Café de la Loire à Paimboeuf : 

Pays de la Loire

Hier St-Jean-de-Monts et aujourd'hui St-Brévin-les-Pins ! On a changé de département sans s'en rendre compte, heureusement qu'on a croisé une gentille mamie qui nous a confié que nous n'étions plus en Vendée mais en Loire-Atlantique (oups, pardon!), tout en nous indiquant le chemin pour la plage et raconté sa session de pêche à pied du matin à St-Michel-Chef-Chef (et oui) avec son petit-fils. A nous donc le Pays de la Loire (en restant dans la région, on est sûr de ne pas se tromper!), ses étendues de sable fin et son ciel qui prend tout l'espace... demain on rentre dans les terres, on fera attention car on change de département et de région !


jeudi 26 juillet 2018

Temps fête

Festival maritime de Douarnenez, on s'est régalé !
Eric Legret
Eric Legret
E. Legret








F. Malésieux









affiche de Patrice Pellerin



mercredi 25 juillet 2018

La Bretagne ça nous gagne


Douarnenez nous voilà ! Après quelques kilomètres (1 027) nous arrivons enfin au bout du bout, la terre de l'île, Douar an nez... il va falloir réveiller Julien Certin... et sortir François Vinoche de l'eau (il ne perd pas une minute pour se baigner celui-là!); on l'attend pour manger nos galettes quotidiennes !!
Julien en pleine lecture de "Je pense trop"

Le petit point dans l'eau au milieu des bateaux? François Vinoche ! A table !


Festival Temps Fête de Douarnenez, photo de Julien Certin

On vous a concocté un petit diapo, avec les photos de J. Certin, C. D'aniello, S. Calandreau et P. Morvan :



samedi 21 juillet 2018

Tour de France

Il y a trois jours on était au Havre, hier à L'Estival de la Batie d'Urfé (42) et ce soir on est à Aix-en-Othe (10)... nous aussi on fait notre "tour de France". Vivement la Bretagne et la Vendée la semaine prochaine ! A bientôt!

jeudi 19 juillet 2018

Havre de paix... mais pas que

Merci à JL Nail pour les belles photos... On s'en souviendra de ce concert! Hier soir pendant qu'on jouait, on s'est fait détroussé dans les loges.... rien de bien méchant, de l'argent, mais quand même... c'est énervant ! Le temps de digérer et on chantera peut-être Stances à un cambrioleur... mais plus tard !!




















 






 

lundi 9 juillet 2018

Buon compleanno !



Lalala Napoli a fêté ses 7 ans! C'était le feu ! Sur la scène de son premier concert! On a pris peu de rides, creusé quelques sillons, et notre musique est plus vive que jamais! Que la joie demeure!


Notre premier concert il y a 7 ans ! Voir plus de moments dans les archives de ce blog à l'année 2011!!

vendredi 29 juin 2018

Planète à Bretelles

Merci au festival des Nuits de Nacre pour ces 3 jours sur la "Planète à Bretelles". Tulle qui bouillonne, Tulle qui résonne... A bientôt !
Et aussi l'interview en ligne de François Castiello sur le site de La Montagne

photo de Kiéki du Monde

mercredi 27 juin 2018

Fil Rouge

Voici l'interview de François Castiello à propos de sa venue aux Nuits de Nacre 2018

Publié le 27/06/2018 à 07h00
Musique

L'ancien accordéoniste de Bratsch François Castiello est le fil rouge des Nuits de nacre 2018 à Tulle

Ancien accordéoniste de Bratsch se produira quatre fois au festival de Tulle, notamment avec un projet électro, "Virage". 
Depuis 31 ans, à Tulle, les Nuits de nacre célèbrent l’accordéon sous toutes ses formes et styles musicaux. Cette année, le festival se déroule du vendredi 29 juin au dimanche 1er juillet. C’est François Castiello ancien accordéoniste et chanteur du groupe Bratsch, qui en est artiste fil rouge. "Mes mains ont choisi l'accordéon et mon corps l'a épousé", dit-il.

Vous allez vous produire plusieurs fois en solo ou avec différentes formations à Tulle. Quel programme avez-vous concocté  pour les Nuits de nacre ?
C’est le projet « Virage » qui est vraiment dédié à Tulle, avec un duo accordéon - batterie. On va le présenter ce samedi. Avec un accordéon préparé spécialement pour l’occasion, avec des micros à l’intérieur et des sons qui passent dans des amplis. J’ai eu envie d’explorer un univers un peu électro. C’est un virage pour moi, c’est la 1-re fois que je touche à des musiques plus actuelles. Je souhaitais mélanger mon bagage et mes explorations.
Il y aura aussi un concert avec Lalala Napoli, vendredi soir. Là, je suis un peu dans mes racines, la chanson napolitaine d’après guerre et des tarentelles que j’aime beaucoup et que j’ai adaptées un peu à ma sauce.

Quels ont été vos débuts d’accordéoniste ?
J’ai commencé l’accordéon à l’âge de 4 ans sur un petit accordéon piano qui ressemblait à un jouet. Je suis passé aux boutons vers l’âge de 7 - 8 ans. J’ai eu un parcours plutôt autodidacte, avec quelques accordéonistes qui m’ont appris des choses, notamment Joë Rossi à l’Académie de l’accordéon. Pendant 1 an, il m’a donné des cours, même si je n’étais pas académique du tout.

A l’âge de 23 ans votre carrière a radicalement changé. Pourquoi ?
J’avais eu l’impression d’avoir fait un peu le tour de ce que je pouvais faire avec ce que j’avais. J’avais travaillé pendant un an et demi dans un cabaret à Pigalle, où j’ai accompagné les chanteurs tous les soirs. Ensuite, J’avais fait partie d’un grand orchestre dans le Sud, « Taibtrumpet ». Puis, je  suis revenu à Paris et je suis rentré dans un autre orchestre, pour jouer du tango et de la chanson latino-américaine, avant de continuer dans plusieurs autres formations aux styles musicaux très différents. Mais, j’ai eu l’intuition que j’étais arrivé au taquet. Il n’y avait pas beaucoup de place pour l’imagination ou la création. J’aime bien improviser. Je me faisais engueuler par les chefs d’orchestres, qui voulaient que je joue des valses de Jo Privat. Il ne fallait pas je rajoute mon grain de sel.
J’avais mis un peu d’argent de côté. Donc, pendant deux ans, j’ai fait mon autre éducation, dans le domaine de la musique, de la peinture, ou de la littérature. J’avais envie d’explorer d’autres horizons. J’ai déménagé dans le quartier de Montparnasse, sans donner mon numéro de téléphone à personne. J’ai aussi beaucoup travaillé mon accordéon. Je ne voulais plus jouer avec des gens qui faisaient de la musique uniquement pour gagner de l’argent. J’ai rencontré plein d’autres musiciens qui avaient des univers bien différents. C’est ainsi que dans une petite gargote parisienne je suis tombé un jour sur Bruno (Girard) et Dan (Gharibian) de Bratsch. On a sympathisé et on a commencé à jouer ensemble.

Vous avez joué au sein du groupe Bratsch pendant 30 ans. Qu’est ce que cela vous a apporté artistiquement et humainement ?
On a pu emboîter nos egos comme un puzzle et au bout d’un moment il n’y avait plus d’aspérités. Chacun avait trouvé une place dans la musique et dans l’énergie du groupe. On a évolué ensemble et chacun de son côté. On a fait plus de 2.500 concerts dans plus de 30 pays. C’est une expérience qui marque une existence, une grosse page de ma vie. À Tulle, on va se retrouver avec Dan (Gharibian). La preuve que même si chacun a pris sa route, on se retrouve sur le même chemin.

Rendiez-vous compte à quel point la musique de Bratsch allait accompagner des moments importants de la vie des gens ?
Non. On s’en est rendu compte, après 20 ans d’existence du groupe, quand on a commencé à avoir des jeunes de 20 ans qui jouaient nos morceaux. Des gens comme La Rue Ketanou, Debout sur le zinc, Sanseverino ou Juliette. On a compris qu’on avait laissé des traces et ça nous a fait tout drôle, avec une grosse responsabilité sur les épaules (rire).

Quel conseil donneriez-vous à ceux qui débutent l’apprentissage de l’accordéon ?
Il faut être curieux. Écouter plein d‘accordéons. On a la chance d’avoir un instrument qui est présent partout dans le monde, avec des fonctions, des sons et des jeux différents. On a une littérature populaire très riche. Si on se donne la peine de l’écouter, elle a tout. Il y a de quoi passer sa vie.

Propos recueillis par Dragan Pérovic 

mardi 26 juin 2018

Regali, regali !

On est déjà tellement heureux de cette tournée, grazie, grazie ! Le plaisir continue : on sera à Tulle fin juin pour le mythique festival Nuits de Nacre, on fêtera nos 7 ans jour pour jour à la Bizz'art de Dieulefit, on ira chez les copains de La Rochelle pour leur super festival L'Horizon fait le mur et enfin nous irons en Italie !! Nous jouerons à côté de Naples pour le Ariano Folk Festival et tout en bas de la Botte pour le fameux Radicazioni Festival d'Alessandria !!! On est gâté !!!


jeudi 21 juin 2018

Let's dance !

Merci à toute l'équipe du théâtre de l'Eden à Sénas! Faites de la musique !











photos et prises de vue B. D'aniello