mercredi 31 mai 2017

"Trilles de flûte et riffs électrifiés"


Merci à Anne Berthod pour son avis dans La Vie
Nous aussi on aime beaucoup!

Culture. Le choix World

Lalala Napoli Disperato

La Vie aime : beaucoup


Il y a une vie après l'emblématique groupe Bratsch (qui s'est séparé en 2015) pour l'accordéoniste et chanteur François Castiello, qui se réinvente du côté de Naples avec de nouveaux compagnons de fièvre et de bohème (les musiciens de No Mad ? et ceux de Mango Gadzi). En italien, il mène le bal jusqu'à la transe, mi-trad', mi-rock, dans une relecture du folklore éruptive où se côtoient trilles de flûte et riffs électrifiés. De tarentelles en chants protestataires, le violon s'envole, le chant se fait lancinant, laissant affleurer dans ces rondes folles une nostalgie farouche et une rage libertaire qui transportent.
La Curieuse/ L'Autre Distribution, 2017


 

 

vendredi 26 mai 2017

Simmo e Napule Paisa !

Nous sommes tous napolitains! 
On est content, on parle de notre album Disperato dans les médias ; 
merci aux Inrocks (plus précisément au chroniqueur Louis-Julien Nicolaou) et à Fip (au programmateur Louis-Victor Michaud) 

"Dix albums pour réenchanter l’Europe
Les Inrocks

Lalala Napoli, Disperato
Toute ville est multiple, paysage et imaginaire, architecture et littérature, couleurs changeantes et vagues sonores, mais Naples est encore à part, parce que ses rues et ses marchés, sans parler du Teatro San Carlo, ont toujours chanté. Lalala Napoli recrée ces dédales bruissant de vie gaie et dure, de refrains languissants, de trilles de flûte et de nostalgies d’accordéon, et il le fait à sa manière, picaresque, rugueuse, viscérale. Tout cela sent le vécu et déborde du studio pour s’étaler au grand soleil, sans joliesses, dans le trop-plein d’un cœur immense." L-J. Nicolaou

vendredi 12 mai 2017

Paroles et paroles et paroles

Cher lecteur, nous savons combien l'envie de chanter avec nous en napolitain est intenable alors voilà c'est fait : tu peux retrouver les paroles de nos chansons (et parfois les traductions, waouh) sur ce blog, plus bas à gauche sous l'onglet "Nous chantons". 

Et nous tenons également à remercier tous les contributeurs qui vont nous aider à réaliser deux clips vidéos! 
On appelle encore aux dons pour ce projet alors on compte sur vous! Plus d'infos se rendre ici ou  

GRAZIE MILLE!


mercredi 10 mai 2017

Crevé mais pas dégonflé

A peine partis prêts à engloutir plus de 1 000 kilomètres avec une escale en Auvergne que nous crevions sur l'autoroute drômoise... pas de problème! La fine équipe sur le pont, nous sommes arrivés à bon port... et Hop!






article du Télégramme :
"Roudour. Lalala Napoli embrase la salle
© Le Télégramme
09-05-17

Lalala Napoli a offert une soirée festive aux spectateurs du Roudour, venus en nombre pour ce dernier concert de la saison. 
 
La plus jeune spectatrice n'avait que cinq ans et a dansé toute la soirée. La plus âgée ne faisait pas son âge tant la musique de Lalala Napoli est régénérante ! Samedi soir, le Roudour a fait le plein de spectateurs et d'énergie pour la dernière soirée d'une saison particulièrement réussie, tant sur le plan artistique que sur celui du public. Il flottait dans la salle comme un air de fête méditerranéenne que les nombreux spectateurs de tous âges ont applaudi à tout rompre.

Un cabaret plein de couleurs et de saveurs

Amore ! sole ! liberta ! (amour, soleil, liberté) chantaient les sept musiciens emmenés par la voix rauque et l'accordéon inspiré de François Castiello, ex-Bratsh mais Napolitain pour toujours. « Entrez dans la transe napolitaine multicolore et cueillez-y le goût de la vie et du partage ! », semblaient-ils dire. Dans ce cabaret plein de couleurs et de saveurs que n'aurait pas reniées un Fellini, les notes dessinaient un monde grouillant de vitalité joyeuse.

La fête avec un grand F

Les spectateurs ont apprécié ce théâtre de rue musical qui tanguait de tarentelle-qui-rend-fou en sérénade-qui-rend-amoureux. Il célébrait avec générosité la joie d'être vivant. Ce fut une belle fête, un moment chaleureux et lumineux, digne de la belle saison musicale de la salle saint-martinoise !"